les espaces du parc du château de Beaulieu à Riorges se vivent différemment selon le fond sonore de l'endroit où tu te trouves. à l'entrée encore un peu de bruit de la rue Saint André où les voitures doivent ralentir à un passage protégé. ensuite si tu prends le chemin à gauche du château tu entres dans un monde silencieux où seuls les oiseaux bavardent en cet avant-printemps. des cyclamens sous une statue encore emmaillotée, quelques perce-neige et des fleurettes jaunes au pied de nombreuses variétés d'arbres et en t'approchant du grand séquoia en haut de la butte, tu peux entendre la musique du vent qui souffle dans les ramures persistantes et aussi, ce qui est moins flatteur pour les oreilles, le brouhaha du trafic de la voie rapide, cependant assourdi grâce à des panneaux anti-bruit. les jeux, balançoires et toboggans en contrebas font remonter les rires des enfants en cette période de vacances et ceux-ci s'intensifient en descendant vers la fabuleuse installation destinée aux saumons sauvages qu'on aimerait bien voir remonter le courant pour se reproduire dans les torrents clairs et fougueux de la montagne. une cascade enlève toute possibilité à entendre un autre son. tu peux t'arrêter au belvédère un bon moment pour admirer les reflets dans l'eau claire immobile et sur les rives les canards sauvages en te ressourçant avec la mélodie du Renaison limpide devenant mousseux et tumultueux en franchissant quelques rochers. la vie des saumons est bien expliquée sur les panneaux et mes yeux ont cherché fébrilement mais vainement les poissons à travers l'eau qui semble très pure en ce mois de février, fonte des neiges sans doute, car le temps plus doux vient réchauffer l'air. en longeant le Renaison vers la sortie du parc, des bancs sous l'allée bordée d'arbres invitent à s'arrêter pour goûter l'air débarrassée de la rumeur et la pollution citadine. les grands arbres dénudés en cette fin d'hiver dévoilent encore les nids de l'ancienne et la nouvelle année. derrière le muret longeant la rivière un chêne couvert de lierre offre au merle chanteur une chance d'installer confortablement sa nouvelle nichée.
belle promenade qui t'inspirera peut-être quelques créations colorées *
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mo
Eindrücklich und bei Sonnenschein gleich noch ein bisschen schöner....
RépondreSupprimerWir waren einmal im Haute Loire in der Lachsstation.... also wir waren eigentlich an den Quellen des Alliers!
...und jetzt werde ich mich gleich auf die Suche nach einer Lachbeobachtungsseite aufmachen - dein Post hat mich gerade daran erinnert.
Herzliche Grüsse et bonne journée
Brigitte
Ich habe leider nur Cyclamen, die im Herbst blühen, im Garten.
RépondreSupprimerEs sieht schon sehr frühlingshaft bei euch aus.
GLG
Astrid
Auf der Wiese wachsende Cyclamen habe ich noch nie gesehen. Was für ein schöner Park. Und die Idee mit dem Blattmuster gefällt mir sehr.
RépondreSupprimerLieben Gruß
Katala
...ein schöner Park mit schönen Bäumen...Lachse soll es hier in der Murg auch geben...schön, der Frühling schaut schon um die Ecke,
RépondreSupprimerliebe Grüße Birgitt
Also, ich hab freiblühende Alpenveilchen auch noch nie gesehen.
RépondreSupprimerDer Baum hat eine fantastische Borke - diese Struktur ist wunderschön.
Ist der Park nicht Dein 12tel Blick vom letzten Jahr oder irre ich mich?
LG Astrid
Grandios der Baum und der Blick von unten in die Krone! Wunderbar. Und schön wieder auch deine anderen Fotos und Collagen. Die Alpenveilchen erinnern mich an den Gardasee, wo ich sie an den bewaldeten Hängen wachsen sah. Sonst kenne ich sie nur im Topf ;-). Liebe Grüße Ghislana
RépondreSupprimerwas für eine schönheit diese kleinen cyclamen sind!! eine solche wiese voll damit habe ich noch nie gesehen - und lachse im fluss auch nicht, obwohl wir hier auch schon des öfteren fischtreppen gesehen haben.
RépondreSupprimerfabelhaft dazu deine skizzen!!
ich vergaß eben beim mustermittwoch zu sagen, dass du die farben der loir im aquarell sehr gut getroffen hast!
liebe grüße
mano